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Livres de Voyage

Bibliothèque de Livres de Voyage pour l’Âme Aventurière

Si vous cherchez l’inspiration pour vos prochaines aventures ou des conseils pratiques pour planifier vos voyages, voici une sélection de livres de voyage qui vous transporteront vers des horizons lointains :

  1. “La Plage” par Alex Garland
    • Une quête d’utopie sur une île isolée en Thaïlande. Un roman captivant qui vous fera rêver de plages paradisiaques
    • .Richard est un routard d’aujourd’hui, en quête de solitude et de sensations fortes, fasciné par l’Asie. A Bangkok, dans une guesthouse minable, il entend parler d’une île interdite aux touristes, bordée par une plage paradisiaque où l’on peut vivre de riz, de poisson et de marijuana.

      Parvenu en ce lieu mystérieux en compagnie d’un couple de Français, il s’assimile aisément à la petite communauté “baba cool” qui y mène une existence rêveuse de soleil, de couleurs et de drogue. Mais ce bonheur est trompeur et le groupe va se trouver peu à peu confronté à l’horreur et à la violence.

2 “Le grand marin” par Catherine Poulain

  • L’histoire d’une femme seule à bord d’un bateau de pêche en Alaska. Un récit brut et passionnant sur la vie en mer.
  • Une femme rêvait de partir.
    De prendre le large.
    Après un long voyage, elle arrive à Kodiak (Alaska). Tout de suite, elle sait : à bord d’un de ces bateaux qui s’en vont pêcher la morue noire, le crabe et le flétan, il y a une place pour elle. Dormir à même le sol, supporter l’humidité permanente et le sel qui ronge la peau, la fatigue, la peur, les blessures…
    C’est la découverte d’une existence âpre et rude, un apprentissage effrayant qui se doit de passer par le sang. Et puis, il y a les hommes. À terre, elle partage leur vie, en camarade.
    Traîne dans les bars.
    En attendant de rembarquer.
    C’est alors qu’elle rencontre le Grand Marin.

3 “Moby Dick” par Herman Melville

  • Une odyssée maritime à la poursuite de la baleine blanche. Un classique intemporel qui explore l’obsession et la condition humaine.
  • Publié à New York en 1851, “Moby Dick” est le chef-d’œuvre de l’écrivain nord-américain Herman Melville et l’un des livres majeurs de la littérature romantique.
  • Publié quand l’auteur était âgé de trente-deux ans, l’importance de “Moby Dick” ne devait être reconnue que beaucoup plus tard, et les principales études critiques qui lui furent consacrées, ainsi que les nombreuses traductions qui en furent faites, dans les différentes langues sont relativement récentes.
  • “Moby Dick” est l’histoire d’une importante expédition de chasse à la baleine, se déroulant aux alentours de 1840. Moby Dick, c’est la monstrueuse baleine blanche, l’incarnation du Mal, cette figure de l’obsession et du double qui, des profondeurs glacées, accompagne le capitaine Achab habitué en surface aux combats titanesques des océans.

4“Voyage au bout de la nuit” par Louis-Ferdinand Céline

  • Un voyage sombre et satirique à travers l’Afrique et l’Europe. Une plongée dans l’âme humaine et ses contradictions.
  •  Bardamu, qu’il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n’en dis pas de mal !… – T’as raison, Arthur, pour ça t’as raison ! Haineux et dociles, violés, volés, étripés et couillons toujours, ils nous valaient bien ! Tu peux le dire ! Nous ne changeons pas ! Ni de chaussettes, ni de maîtres, ni d’opinions, ou bien si tard, que ça n’en vaut plus la peine. On est nés fidèles, on en crève nous autres ! Soldats gratuits, héros pour tout le monde et singes parlants, mots qui souffrent, on est nous les mignons du Roi Misère. C’est lui qui nous possède ! Quand on est pas sage, il serre… On a ses doigts autour du cou, toujours, ça gêne pour parler, faut faire bien attention si on tient à pouvoir manger… Pour des riens, il vous étrangle… C’est pas une vie… – Il y a l’amour, Bardamu ! – Arthur, l’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches et j’ai ma dignité moi ! que je lui réponds.”

5“L’Usage du monde” par Nicolas Bouvier

  • Le récit d’un voyage en Asie et au Moyen-Orient dans les années 1950. Une exploration poétique et profonde des cultures et des paysages.
  • À l’été 1953, un jeune homme de 24 ans, fils de bonne famille calviniste, quitte Genève et son université, où il suit des cours de sanscrit et d’histoire médiévale puis de droit, à bord se sa Fiat Topolino. Nicolas Bouvier a déjà effectué de courts voyages ou des séjours plus long en Bourgogne, en Finlande, en Algérie, en Espagne, puis en Yougoslavie, via l’Italie et la Grèce. Cette fois, il vise plus loin : la Turquie, l’Iran, Kaboul puis la frontière avec l’Inde. Il est accompagné de son ami, Thierry Vernet, qui documentera l’expédition en dessins et croquis. Ces six mois de voyage à travers l’Anatolie, l’Iran puis l’Afghanistan donneront naissance à l’un des grands chefs-d’œuvre de la littérature dite « de voyage », L’Usage du monde, qui ne sera publié que dix ans plus tard – et à compte d’auteur – aux éditions Droz, avant d’être repris par René Julliard en 1964. Après avoir connu un formidable succès, le livre était resté longtemps indisponible, avant de reparaître aux éditions La Découverte en 1985.

6“Sur la route” par Jack Kerouac

  • Un roman culte sur la quête de liberté et d’aventure à travers les États-Unis. Une ode à la route et à la découverte.
  • “Un gars de l’Ouest, de la race solaire, tel était Dean. Ma tante avait beau me mettre en garde contre les histoires que j’aurais avec lui, j’allais entendre l’appel d’une vie neuve, voir un horizon neuf, me fier à tout ça en pleine jeunesse ; et si je devais avoir quelques ennuis, si même Dean devait ne plus vouloir de moi comme copain et me laisser tomber, comme il le ferait plus tard, crevant de faim sur un trottoir ou sur un lit d’hôpital, qu’est-ce que cela pouvait me foutre ? J’étais un jeune écrivain et je me sentais des ailes. Quelque part sur le chemin je savais qu’il y aurait des filles, des visions, tout, quoi ; quelque part sur le chemin on me tendrait la perle rare.”

7“Voyage au centre de la Terre” par Jules Verne

8“Carnets de voyage” par Albert Camus

  • Les réflexions et observations de Camus lors de ses voyages en Algérie, en Grèce et en Amérique du Sud. Un regard sensible sur le monde et la condition humaine.
  • Albert Camus est allé aux États-Unis de mars à mai 1946, puis en Amérique du Sud de juin à août 1949. Ses “Carnets” contenaient une relation de ces voyages, qu’il a semblé légitime de publier à part. Camus lui-même avait isolé, dans un dossier, le Voyage en Amérique du Sud.On retrouvera avec intérêt, dans ces pages, la source d’oeuvres élaborées : Les Pluies de New York, La Mer au plus près, L’Été, La Pierre qui pousse.Le ton des deux journaux est sensiblement différent. En Amérique du Nord, c’est un journaliste qui découvre, d’un oeil tantôt admiratif, tantôt réprobateur, la démesure du Nouveau Monde. Il n’en oublie pas pour autant ses préoccupations du moment, et en particulier La Peste. En Amérique du Sud, il arrive en voyage officiel, comme une “vedette”. Mais, en même temps, il ressent une nouvelle attaque de phtisie, et son itinéraire est aussi celui de la maladie redécouverte. Crise physique, crise sentimentale et morale que l’on retrouvera dans La Pierre qui pousse.

9“L’Alchimiste” par Paulo Coelho

  • Une quête spirituelle à travers le désert égyptien. Ce livre inspire à suivre ses rêves et à écouter son cœur.
  • J’ai découvert Mœbius au début des années soixante-dix. Ses oiseaux, ses horizons et ses labyrinthes ont enrichi mon imagination et m’ont permis d’avoir une vision plus claire et plus profonde de moi-même. Au fil des ans, j’ai cherché à travers mes livres à éveiller et intéresser le lecteur à la magie de notre quotidien. D’une certaine manière, mon travail reflète ce que m’ont enseigné les grands qui ouvrent les portes de l’imaginaire. Parmi eux, Mœbius occupe une place très privilégiée. Pour toutes ces raisons, j’éprouve une grande joie lorsque je regarde ces belles illustrations de L’Alchimiste. Je sens que nous partageons le plaisir de plonger au fond de l’Ame du Monde. Certains hommes croient que les rêves peuvent transformer le monde ; pour eux, les chemins de la magie et de la réalité ne cessent de se croiser. P.C. On m’a d’abord apporté le manuscrit. Je l’ai parcouru, lançant le filet aux nuages, gardant celle-ci, rejetant celle-là. La pêche était bonne. Les lignes et les couleurs frétillaient, prêtes à se fixer sur le papier, impatientes de s’insérer dans le tissu vivant de l’histoire. J’avais enfin joué mon rôle, j’avais accompli ma pêche, livré mes petites batailles… J’avais même rencontré Paulo, le doux berger des mots. Maintenant que tout est fini, je vais pouvoir enfin relire le livre. M.

10“Voyage avec un âne dans les Cévennes” par Robert Louis Stevenson

  • Le récit d’un voyage à pied à travers les montagnes françaises. Une aventure simple et authentique.
  • Elle est parfois paresseuse, souvent têtue, mais toujours affectueuse. Il s’agit de Modestine, l’ânesse qui accompagne, dans ce récit autobiographique, Robert Louis Stevenson, lors de sa singulière traversée des Cévennes. Ensemble, ils partagent cette aventure, ponctuée de multiples rencontres et imprévus. Et malgré leur lien orageux, une amitié atypique éclot peu à peu au sein de ce duo aussi original qu’attachant. “Il faisait déjà chaud. J’attachai ma veste au paquetage, et je cheminai en bras de chemise. Modestine elle-même était de fort bonne humeur, et se lança spontanément, pour la première fois à ma connaissance, dans un trot cahoté qui, à chaque secousse, envoyait les avoines danser dans la poche de mon manteau. Derrière moi, au nord du Gévaudan, la vue s’étendait à chaque pas.” Pour plus d’astuces cliquez ici…